L’évaluation des apprentissages en enseignement supérieur est de plus en plus
questionnée depuis quelques années. L’arrivée du Plan d’action numérique en
éducation et en enseignement supérieur en 2018 a initié une vague de
questionnements, changements et opportunités par l’intégration du numérique,
notamment pour l’évaluation des apprentissages. Par la suite, la pandémie de la
COVID19 en 2020 a engendré une multitude de questions entourant la mise à
distance des évaluations. Finalement, dans les derniers mois, l’essor des
intelligences artificielles génératives pose des défis qui appellent les
établissements à réviser leurs politiques et règlements et nécessite également
de la part du personnel enseignant de revoir leurs pratiques évaluatives. Les
craintes de plagiat et de tricherie sont ainsi exacerbées par les technologies
numériques, tout comme les opportunités de varier les types et formes des
évaluations proposées aux étudiants. Dans cette perspective, ce symposium a
pour objectif de réunir ensemble différents acteurs et actrices (enseignant.es,
gestionnaires, conseiller.es pédagogiques, chercheur.es etc.) impliqués et
intéressés par l’évaluation des apprentissages au niveau de l’enseignement
supérieur. Ce sera l’occasion pour eux de faire part de leurs réflexions à propos
des enjeux et défis qu’ils rencontrent, des pratiques qu’ils observent ou mettent
en oeuvre pour y répondre et de partager le fruit de leurs travaux de recherche.
Les personnes intéressées à soumettre une proposition de communication orale
(20 minutes de présentation, 10 minutes d’échanges) peuvent le faire, avant le
22 novembre 2024, via le lien suivant : https://tinyurl.com/j2kf9pfb en précisant
que c’est pour le symposium 51 (sympo 51). En cas de besoin, des directives de
l’appel à communication sont disponibles à l’adresse suivante :
https://tinyurl.com/2p86bbpp
Ce symposium est organisé par les professeur.es Serge Gérin-Lajoie,
Marie-Hélène Hébert et Cathia Papi de l’Université TÉLUQ
Bureau de soutien l’enseignement pour Serge Gérin-Lajoie, Marie-Hélène Hébert et Cathia Papi de l’Université TÉLUQ
